Voilà quelques brochures, ce sont des pistes, pas des modes d’emploi. A la FRAP, on a beaucoup milité contre la culture du call-out systématique, mais on rappellera toujours que la priorité c’est la protection des (futures) victimes, et le respect de leurs demandes, dans la mesure du possible.
En ce sens, ce ne sont que des réflexions, en aucun cas on ira chopper par le col des camarades qui font comme iels peuvent, surtout dans des milieux dans lesquels aucune structure de prise en charge des agresseur.euses n’existe, ou même quand le simple fait de demander à être écouté.e dans son témoignage est le parcours du combatant. Ah oui et au cas où, avant tout c’est l’agresseur.euse qui crée de la violence, pas la victime qui se défend comme elle peut. On refuse d’utiliser le rejet du carcéralisme comme token pour les anti-féministes.
A propos de violences sexuelles et d’agressions
Zine de réflexion sur les agressions au sein des collectifs féministes.
Les critères d’un call-out
Il y a des trucs un peu abusés dans ces critères nottament si la personne qui a agressé est privilégiée (1 faf 1 balle), mais c’est quand même intéressant d’essayer de se poser ces questions.
4 raisons pour lesquelles la culture du call-out marginalise les femmes trans (et nous cause à tous·tes du tort)
Ca montre un peu pourquoi il faut prendre en compte la situation matérielle d’une personne quand on veut la call-out. A l’inverse il nous semble important de rappeler que rien n’excuse une agression, et ça serait hyper classiste, transphobe , etc. d’excuser quelqu’un parce qu’iel est opprimé.e. Bref ce texte peut être une piste de reflexion.
Ceci n’est pas un call-out
Se positionner pour une vraie autodéfense féministe
Conflits sur des lieux collectifs
Outils, pistes et analyses
Soutenir unE survivantE d’agression sexuelle
Questions consentement
100 questions à se poser sur nos interractions sexuelles (même quand on est pas un homme)